Le Conseil des arts du Nouveau-Brunswick est un organisme de financement des arts indépendant dont le mandat est prévu par la loi pour faciliter et promouvoir la création d’œuvres d’art et l’administration de programmes de financement pour les artistes professionnel.les de la province.
La technologie souscrira un changement global, de la façon dont nous communiquons à la façon dont on fait affaire. Localement, ici au Nouveau-Brunswick, les moments difficiles ne cessent d’exister, et quand on regarde la situation dans son ensemble, peu importe la conversation autour de « penser en dehors de la boîte », il est clair que de trouver des solutions pour la survie, même les dirigeants le mieux intentionné sont pris au piège et ne savent pas comment en sortir. Jeremy Rifkin à une théorie très intéressante sur le changement économique mondiale initié par la technologie et le rôle de collaboration. Il vaut un coup d’œil. Qu’il soit correct ou pas à grande échelle, il mérite l’examen de la question de collaboration et la créativité comme deux des atouts dont nous nous disposons.
Il a été dit que nous ne vivons pas à une époque de changements, mais un changement d’époque. Ce qui veut dire que nous devons questionner tout ce que nous pensons savoir sur la façon dont nous faisons les choses. Et les périodes de maigres ressources peuvent parfois conduire à une dynamique assez malsaine : le danger est que nous devenions territoriales, sur la défensive, et vicieuses dans le concours pour la survie. Dans ce scénario, c’est la loi de la jungle qui règne. Alors qu’est-ce que nous, les humains, avons dans notre boite d’outils adaptabilité pour ne pas abimer nos relations de travail? Un des plus grands outils, je dirais, est notre capacité de collaborer et produire de la magie même lorsque les choses semblent sombres.
Travailler ensemble :1+1=3
Lorsque les ressources sont rares, mais les rêves sont grands, la collaboration avec une autre personne ou un groupe pour atteindre une vision, un impact, ou objectif commun peut faire réaliser l’impossible. Que ce soit une petite tâche à la maison, comme le rangement de bois pour l’hiver, ou un grand défi, comme la résolution d’une question socio-économique, deux vieux adages tiennent leur vérité (et dans l’Est, nous aimons nos adages) : « L’union fait la force » et « Deux têtes valent mieux qu’une. » Quand vous rangez le bois seul, le progrès semble lent. Lorsque vous ajoutez un ami, le travail physique va plus vite, mais il y a quelque chose d’autre aussi : psychologiquement, le fardeau de la tâche a également allégé, et en ajoutant un ami on se sent plus comme si on a ajouté deux, et la pile se dissipe. 1 + 1 = 3.
Au Nouveau-Brunswick, les contraintes budgétaires sont de rigueur pendant une longue période. Situation : sombre. Entrez collaboration : le fait de travailler avec une autre personne ou groupe pour réaliser quelque chose. Il n’est pas nouveau. Cet outil d’adaptabilité est plus vieux que l’homo sapiens. Mais avec lui, les résultats sont souvent plus grands qu’attendu.
Facilitant la mise en oeuvre
La collaboration a ses défis — il est important de rencontrer et de discuter en profondeur avec vos partenaires potentiels — en particulier sur les initiatives plus complexes — pour vous assurer que vous avez exploré autant d’aspects que possible des attentes. Cela garantit la compréhension commune et un accord sur des résultats communs. Il minimise les frictions potentielles et maximiser les chances de succès. Voici quelques exemples de questions à aborder lors de la collaboration : où sont les chevauchements de priorité? Lequel de vos objectifs diffère? Il-y a’ il des différences d’approche? Si oui, quel plan d’action peut être convenu dès le départ? Quelles sont les forces et les faiblesses de chaque collaborateur? Comment les tâches peuvent-elles être assignées pour minimiser les faiblesses plus stratégiquement? Comment les tâches sont-elles assignées? Comment allez-vous communiquer, et à quelle fréquence? S’il y a des coûts, comment seront-ils partagés? Est-ce que les contributions en nature sont possibles si l’une des parties ne peut pas contribuer au même niveau financier? Si la publicité est nécessaire, comment serait-il traité?
Provoque une dépendance!
Chez artsnb, nous nous sommes associés et entrer en collaboration souvent. Le résultat est toujours une portée plus vaste, un plus grand impact positif pour ceux que nous servons, et un sens partagé d’accomplissement moins coûteux. Que ce soit pour résoudre un défi dans le bureau, une initiative locale pour organiser des ateliers de perfectionnement professionnel, une initiative régionale visant à accueillir un premier symposium d’arts autochtones, la signature d’un protocole d’accord pour un échange entre administrations ou une collaboration nationale pour combler les lacunes de la programmation, la collaboration obtient non seulement des résultats étonnants – et il y a sens partager de réussite. Une fois que vous avez commencé, vous aurez envie d’en faire plus.
En tant qu’entité provinciale, le Conseil des arts du Nouveau-Brunswick reconnaît qu’il effectue son travail sur le territoire traditionnel non cédé des peuples Wolastoqiyik, Mi’kmaq et Peskotomuhkati. Lisez la déclaration en entier ici.